Editions: ALBIN MICHEL
Dans Ce lien qui ne meurt jamais, Lytta Basset racontait comment elle avait fait l’expérience de contacts avec son fils aîné mort par suicide à l’âge de vingt-quatre ans. Mais la théologienne protestante, à la fois par discrétion et parce que sa formation ne l’avait pas préparée à de tels aveux, n’avait alors pas tout dit des circonstances qui l’avaient amenée à témoigner.
Quinze ans plus tard, elle ose révéler ce qu’elle appelle « l’Evénement improbable » qui l’a « remise dans le courant de la vie ». Loin de toute motivation sensationnaliste, si elle s’est décidée à prendre la parole, c’est pour aider ceux qui traversent le deuil d’un enfant à ne plus se dire qu’on « ne s’en remet jamais ». Validant l’existence des VSCD – « vécus subjectifs de contact avec un défunt » – elle relit la littérature sur ces questions délicates, en faisant toujours le lien avec les différents récits évangéliques autour de la Résurrection.
Un témoignage proprement extraordinaire et un essai courageux.
C?est un des livres événement de la rentrée et pour beaucoup, ce sera un livre déroutant. Lytta Basset, théologienne protestante et auteur incontournable de nos librairies religieuses, avait profondément touché avec son livre Ce lien qui ne meurt jamais, dans lequel elle relatait l?épreuve de la perte de son fils Samuel. Avec Cet Au-delà qui nous fait signe, l?auteur propose une sorte de suite en dévoilant un fait personnel troublant, cet « Evènement improbable » qui sera le début d?une longue quête personnelle et croyante, aux confins des sources chrétiennes et parapsychologiques. Ce livre, qui pousse la porte de la Vie qui est promise après la mort, est une immersion en eaux profondes mais toujours vigoureusement attachée à l?Evangile. Un témoignage troublant, unique et très courageux.